Aluno(a) de Licenciatura que já fez bacharelado deve fazer a monografia novamente?

sábado, 2 de outubro de 2010

O que é ser antropólogo/a?


Palavras da historiadora Catherine Coquery-Vidrovitch, professora Emérita da Universidade de Paris VII

"[...] plus que jamais s'impose, dans tous les domaines, la necessitéd'équipes interdisciplinaires où chacun apporte son dû au champ commun [...]", donc "nous avons tous, quelle que soit notre discipline, le devoir d'être anthropologue, c'est-à-dire de ne pas nous prende pour le centre du monde, mais de nous intéresser aux hommes en les replaçant chaque fois dans leur contexte, dans leur environnement et dans leur système de compréhension particulier".

Cependant, à bon quoi d'être anthropologue?

"[...] le morcellement de la discipline traduit son inquiétude: qu'est-ce que l'anthropologie historique sinon de l'histoire, l'anthropologie juridique sinon du droit, l'anthropologie politique sinon des sciences politiques (bien comprises du moins). Et quel est le partage, sino fomrel, entre anthropologie et sociologie, dês lors que l'exotisme n'est plus le facteur de différenciation? [...] Et que l'on ne risque pas d'invoquer, au bénéfice de l'anthropologie, la quête 'identitaire': au temps de l'accélération des métisssages culturels en tout genre qui fondent la compréhension du monde et de soi-même par l'enrichissement multiple et changeant des recontres, des échanges et des syncrétismes constamment remodelés, le thème tellement à la mode aujourd'hui de l''identité' est pervers: il n'est que la version intellectuellement édulcorée et apparemment laïcisé de l'intégrisme quei sommeille en tout individu effrayé de ce que, postulant comme étranger, il a du mal à admettre comme partie de soi. Que l'anthropologie risque d'être invoquée par ce genre de recherche friande de 'ré-indigénisation' - mot remis à la mode par les politites, mais qui devrait faire peur car il est négation de l'histoire - relève du leurre".

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